Publié le 12 février 2024 Mis à jour le 12 février 2024

La revue Brussels Studies vient de publier un article écrit par Justine Carlier et Magali Verdonck, chercheuses au DULBEA. Intitulé « Faire des économies avec la remise en logement ? Une comparaison des coûts avec ceux du sans-chez-soirisme », le texte présente de manière succincte une partie de leurs recherches sur les coûts du sans-chez-soirisme comparés à ceux du relogement. 

Chaque hiver redonne momentanément davantage de visibilité aux personnes qui dorment dans la rue, lorsque les nuits se font longues et froides. Combien sont-elles et comment les abriter ? Le dernier recensement réalisé par Bruss’help fin 2022 comptabilisait 7134 personnes « sans-chez-soi », ne disposant pas d’un toit ou seulement de manière temporaire (accueil en foyer d’urgence ou chez des amis). Ce chiffre est en hausse et a un impact sur les capacités d’accueil en Région de Bruxelles-Capitale. Combien coûtent ces solutions d’hébergement temporaire et sont-elles forcément moins onéreuses que d’assurer la remise en logement des personnes sans-chez-soi ? Justine Carlier et Magali Verdonck, chercheuses au DULBEA (Faculté Solvay Business School Economics and Managment), ont tenté de comparer ces coûts. Elles présentent les résultats de leur étude à travers quelques chiffres clés dans le 189e numéro de Brussels Studies.

Accéder à la publication