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Masculinités positives: les personnes vulnérables mieux protégées
Publié le 29 septembre 2023
– Mis à jour le 29 septembre 2023
En juin 2022, ULB-Coopération et ses partenaires lançaient le projet « Masculinités positives et santé co-responsable », en République démocratique du Congo.
L’objectif? Promouvoir des masculinités positives et prévenir les attitudes et comportements violents, en particulier à l’égard des femmes. Depuis, des centaines d’acteurs et actrices de l’éducation, de la santé, du monde professionnel et de la société civile ont pu échanger sur la culture du risque et de la virilité.
À mi-parcours du projet, les parties prenantes se sont réunies pour dresser un premier bilan et d’ajuster les dispositifs. Elles ont ainsi répertorié et évalué les risques liés aux activités du projet dans les zones d’intervention, à Kinshasa et à Goma, afin de pouvoir les mitiger et protéger les personnes vulnérables et les victimes de violences basées sur le genre.
Les risques de conflits dans les ménages et dans les communautés liés aux traditions (« le projet détruit les coutumes ») et aux relations hommes-femmes ont été le plus souvent relevés. Pour y répondre, le groupe de travail a proposé notamment d’adapter et d’élargir la communication sur le projet et de sensibiliser davantage les populations, en particulier les familles, les couples, les leaders coutumiers et religieux, ainsi que les autorités locales. Un réseau de contacts, capables d’assister les personnes en difficultés tout au long du projet, sera également mis en place.
En savoir plus
À mi-parcours du projet, les parties prenantes se sont réunies pour dresser un premier bilan et d’ajuster les dispositifs. Elles ont ainsi répertorié et évalué les risques liés aux activités du projet dans les zones d’intervention, à Kinshasa et à Goma, afin de pouvoir les mitiger et protéger les personnes vulnérables et les victimes de violences basées sur le genre.
Les risques de conflits dans les ménages et dans les communautés liés aux traditions (« le projet détruit les coutumes ») et aux relations hommes-femmes ont été le plus souvent relevés. Pour y répondre, le groupe de travail a proposé notamment d’adapter et d’élargir la communication sur le projet et de sensibiliser davantage les populations, en particulier les familles, les couples, les leaders coutumiers et religieux, ainsi que les autorités locales. Un réseau de contacts, capables d’assister les personnes en difficultés tout au long du projet, sera également mis en place.
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